Sunday 22 February 2004
Un air de déjà-vu…
En nous quittant mardi, Lize et moi nous étions convenus de nous revoir dimanche (aujourd’hui même !). Elle ne pouvait pas de toute la semaine parce qu’elle partait deux jours à Strasbourg pour raison professionnelle et qu’une fois rentrée jeudi ou vendredi, elle voyait sa soeur la majeure partie du week-end.
Je lui ai donc promis de lui “réserver” mon dimanche.
Je lui ai passé un coup de fil, hier, vers 17h30 pour lui faire un petit coucou. Elle n’a pas décroché (ou n’a pas entendu son téléphone…). Je lui ai laissé un message, lui disant que j’essaierai de la rappeler plus tard.
Pas de nouvelles.
Je tente de la rappeler vers 22h30. Idem : 4 sonneries dans le vide et répondeur… Je n’ai pas laissé de message.
Elle ne m’a pas rappelé.
Ce matin, je reçois un SMS de sa part :

Pourquoi attend-elle dimanche matin pour me dire qu’elle n’est pas rentrée ? Pourquoi ne m’a-t-elle pas répondu ni rappelé, hier ? Pourquoi a-t-elle besoin de « pouvoir » me téléphoner ?!
Son « obligation » de rester à Strasbourg est crédible parce qu’elle y a vécu un certain temps et qu’elle a des choses à y faire.
Mais soyons honnêtes deux secondes : Si le cas était inverse et qu’il s’agissait du comportement d’un homme, par exemple de 45 ans, vis à vis de sa nouvelle copine, tout le monde crierait : “il est marié, c’est clair comme de l’eau de roche !!!!!”.
D’ailleurs, ça me rappelle qu’elle a déjà eu une liaison avec un homme marié de 45 ans… Il lui a peut-être filé des tuyaux ! Chez qui est-elle à Strasbourg durant toute une semaine si elle y est vraiment ? Tout est plus que flou !
Il est évident qu’elle me cache quelque chose et je le lui souhaite parce que ça voudrait dire sinon qu’elle a de sérieux problèmes dans ses relations aux autres…
Espère-t-elle tirer de ce jeu de cache-cache mon assujettissement ? Est-ce une façon de fuir ? Est-ce de la bête négligence ? Dans tous les cas, je n’ai définitivement plus aucun scrupule à ne considérer cette relation que comme une passade. Et pardon d’en avoir eu.
En conclusion : sur le moment, à la réception de son SMS, NON, je n’étais pas triste mais OUI j’étais énervé.
Ma quête active pour trouver la fille formidable se poursuit immédiatement, en parallèle avec cette relation à la petite semaine.
Etrange Lize… Au fait… J’attends toujours son coup de fil…
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